Quand la peur animait mon cœur les soirs
Rien qu’une lune, pour mes nuits d’ombre
Homme perdu , dans un désert superstitieux
Mes nuits blanches somnolaient aux aguets de la solitude
De sombres dunes que mes pensées foulaient à minuit ,
Retenaient mes pas tel un taureau épuisé
Mon lourd manteau au couleur de la nuit m’affaiblissait
Tête baissée mon cœur tombant en lambeau
Je n’avançai point, seul sous les toits d’une nuit déserte la souffrance me dévorait
Oh ma lune
désormais je t’appellerai belle lune
Comme tu illumines ma vie
Mes rêves dévoilent ta beauté les soirs
Ta douceur me rassure comme un bouclier
Ton sourire me vide de mes douleurs
J’arracherai des montagnes de tes paroles
ibn ab’s