La vie
Elle est telle une poubelle
Vraie image d’une poubelle,
La vie sombre et si cruelle ….
Mais rien de plus belle qu’elle
Les montures s’y attellent
Loins des rives de l’espoir
Ces malavisés acceptent,
encaissent tous ses duels
Rampent, marchent, courent
pour finir un soir, immobiles
Foudroyés, la vie les oblige,
Une très grande faucheuse
La barque qui rame, aux aguets
Des rythmes timides des paquets
Tantôt des larmes pour des adieux
Tantôt des sourires afin de mieux
Faire grimace et ricanement
Juste soutenir des plus Petits
Les accompagner loins, vers les anciens